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CINEMA Cinéparc - Jeudi 02 juin -  Quand on a 17 ans

Résumé:

Damien, 17 ans, fils de militaire, vit avec sa mère médecin, pendant que son père est en mission. Au lycée, il est malmené par un garçon, Tom. La violence dont Damien et Tom font preuve l'un envers l'autre va évoluer quand la mère de Damien décide de recueillir Tom sous leur toit.

 

Long métrage français

1h54 - 2016
Genre : Drame
Réalisé par André Téchiné
Avec Sandrine Kiberlain, Kacey Mottet Klein, Corentin Fila, ...
Public : Adultes et adolescents
Bande annonce :
http://www.cineparc.fr/index.php/component/content/article?id=39

Séance à 20h30 ; Salle des Fêtes ; tarif plein : 5€, Tarif réduit : 3€

Les critiques:

Le Monde : «"Quand on a 17 ans", qui signale le retour d’André Téchiné au sommet du cinéma français, explore un territoire fabuleux, l’adolescence, pour en exalter l’ardeur, pour cristalliser ce moment où la sensation d’être unique au monde est si forte qu’elle en devient vraie. » Thomas Sotinel

Les inrockuptibles : «Plus de vingt ans après "Les Roseaux sauvages", André Téchiné filme l’adolescence des années 2010, ses désirs, ses errances, son sérieux, sa violence. Un véritable retour en grâce.» Jean-Marc Lalanne


Le point de vue   

Effectivement, on ne peut pas voir ce nouveau film d'André Téchiné sans faire un parallèle avec un de ses films majeurs, Les roseaux sauvages. On y retrouve des thèmes chers au réalisateur : l’adolescence, la recherche de son identité. C’est donc de manière presque logique qu’il en est venu à travailler avec une scénariste proche de lui dans ses préoccupations : Céline Sciamma (Tom Boy, Bandes de filles). Pour le coup, cette chronique initiatique d’une grande douceur est aussi un film physique, où les corps parlent mieux que les mots et où la nature est omniprésente. Sous le regard d’adultes bienveillants ( dont Sandrine Kiberlain, toujours impeccable), évoluent deux jeunes interprètes exceptionnels de naturel, de spontanéité, d’énergie et même de naïveté. On avait d’ailleurs découvert l’excellent Kacey Motter Klein dans deux films forts d’Ursula Meïer : Home et Le garçon d’en haut.

Tag(s) : #CINEPARC

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